Philippe Pignarre écrit dans son livre « Le grand secret de l’industrie pharmaceutique », 2004, page 13: Pour les pays occidentaux et surtout pour les Etats-Unies, l’industrie pharmaceutique est le joyau de la couronne capitaliste. C’est son industrie la plus profitable et de loin: les marges brutes y tournent autour de 70% et même 90% (rappel: il avait écrit ça en 2004), et selon les experts son taux de profit moyen est le plus élevé de tous: il atteint 18.6%, contre 15.8% pour les banques commerciales qui viennent en deuxième position, devant des taux beaucoup plus bas pour les autres secteurs de l’industrie. Dans le monde occidental, le coût total des dépenses en médicaments de prescription augmente chaque année de 6% à 20% selon les pays, c’est à dire à un rythme beaucoup plus rapide que l’ensemble des dépenses de santé. Il faut évidemment se méfier de tous ces chiffres, dont la fiabilité est sujette à caution: ils sont souvent le résultat de synthèses faites par l’industrie pharmaceutique elle-même à partir de ses propres données. On peut tout au plus s’en servir comme indices. Cette situation privilégiée est le résultat d’une politique délibérée … ff
Ma réaction à ce texte: nous sommes une humanité dont la pupart des membres se savent vulnérables, même si nous faison tous les effort pour nous cacher à nous même ce fait. Et là nous sommes déjà au coeur de ce qui nous guide d’instinct: nous voulons survivre à tout prix. Après la deuxième guerre mondiale, après 1945, oh combien donc nous étions reconnaissants pour cette invention qu’étaient les médicaments chimiques, grâce au pénicilline on guérissait vite les inflammations, grâce au vaccins on se libérait des épidémies, on oubliait la polio … que de la gratitude de la part du peuple. Qu’il y ait un marché avec le diable dans le jeu, seulement d’infréquentables empêcheurs de tourner en rond osaient l’exprimer.
Aujourd’hui BigPharma fait tellement corps avec le peuple, qu’elle fait presque parti de la famille. Pourtant, une prochaine génération d’anti-capitalistes pourraient, si on ne les tue pas avant, faire comprendre comment finalement le marché avec le diable a toujours un prix bien plus lourd qu’on le voit au départ. Mais ça viendra tout seule.
Donc, dans ce marché de frais de douanes entre Trump et la Suisse, qui loge chez elle de grandes industries pharmaceutiques, ces derniers vont, mais bien sûre, tirer du feu leurs chataîgnes que nos braves contribuables vont payer, avec une monstre grimasse, mais ils payeront. A moins que notre gouvernement fasse un autre marché toxique, mais câché, pour ne pas énerver les braves Suisses. Chez nous, on sait maintenir la paix. Non?
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Mon contre-argument contre ce deal est caché dans mon texte en allemand (traduit par ChatGPT) ci-après:
was hält mich gesund (ce qui me maintient ma bonne santé), le 21 november 2024.
(Traduit par ChatGPT de l’allemand en françaias: « Ma médecin de famille prend sa retraite : j’ai récupéré aujourd’hui mon dossier médical auprès de son assistante, mais je n’ai pas encore cherché de remplaçant. Depuis des décennies, je me suis adressé uniquement à elle, par exemple pour obtenir des certificats comme ceux pour le Covid, car je préférais traverser cette maladie sans recourir à « Big Pharma ». Je préfère « agiter moi-même quelques petites fleurs au-dessus de ma tête », comme un de ces malins surnommait autrefois les médecins naturalistes.
L’assistante me regarde, perplexe, et me demande comment je fais face. Je lui révèle mon petit secret: dès que la grippe ou autre maladie approche, je jeûne pendant 24 heures, puis je m’alimente pendant un à deux jours uniquement avec des légumes, c’est‑à‑dire uniquement des aliments alcalins pour l’organisme.
Elle reste incrédule, n’ose pas croire ce que j’appelle « ce soi‑disant charabia », mais reste polie et silencieuse. Devant un tel scepticisme, je n’ai plus la force de raconter mon histoire de la preuve scientifique : dès la fin des années 80, une grande entreprise pharmaceutique (basée à Bâle) aurait mené des études ; un des médecins ayant participé m’en a parlé de vive voix. Ils voulaient découvrir quelle substance ou quelle méthode était la plus efficace pour stimuler le système immunitaire. Tout a été examiné, pendant des années, avec des millions investis. Et à l’arrivée, le résultat fut sans appel : 48 heures de jeûne activent le système immunitaire au maximum. Un résultat incontestable.
Pourquoi ce médecin m’a-t-il raconté cela ? Il était furieux que ces types-là aient gardé cette connaissance pour eux.
Et encore deux décennies plus tard, j’ai entendu un de ces scientifiques dans une émission de télévision clamer : « qu’il n’est scientifiquement pas prouvé que le jeûne fasse quelque chose pour la santé ».
Eh bien, peu à peu, j’ai éliminé tous les médicaments chimiques de ma vie. Dès que je ressens un malaise, je pratique un jeûne de vingt‑quatre à trente heures, puis je reprends une alimentation principalement alcaline — et cela fonctionne à merveille. Aujourd’hui, je suis en bonne santé, même après plusieurs infections avec Corona, sans vaccination. Je suis surtout reconnaissant pour cette information précieuse. Avant Covid, je n’avais pas eu une seule grippe pendant vingt‑cinq ans, sans vaccination, cela va de soi.
Mais attention: si quelqu’un a toujours pris un médicament à la moindre rhinite, il aura tellement rendu son corps dépendant que son « directeur technique interne », comme je l’appelle, aura oublié comment activer la guérison naturelle — laquelle ne fonctionne pleinement que si l’organisme est alcalin (et non acidifié). Par exemple, cela m’a pris trois ans pour maintenir cet état alcalin sans rechuter, sans céder à la forte envie de consommer des aliments acidifiants (« acide » est une drogue stimulante pour le corps). Pour réveiller l’auto-guérison, il faut d’abord décrocher de cette drogue : on la reconnaît quand le matin, sans café (un puissant acidifiant), rien ne fonctionne. Ou si, après une alimentation alcaline prolongée, on ressent soudainement le besoin urgent d’un aliment très acidifiant comme le sucre, le chocolat, le café, des céréales, ou des protéines et graisses savoureuses. Nos ancêtres vivaient naturellement de cette nourriture adéquate (le tabac et l’alcool étant complètement absents).
En résumé: décrochez d’abord de l’état acide, puis renoncez progressivement à la Big Pharma — c’est seulement alors que la guérison naturelle reprend son cours normal. Les maux flous, chroniques, qui sont devenus omniprésents dans nos sociétés occidentales disparaîtront.
Cette situation révèle à quel point notre corps est dégénéré, éloigné de ce que la santé devrait être. Pour moi, les peuples naturels sont en bonne santé : des populations simples, frugales, travaillant beaucoup en plein air.
Aujourd’hui, des voix s’élèvent de nouveau pour nous alerter d’un virus terrible qui suscite la peur. Mais peut‑être qu’on cherche simplement à nous faire peur, ce qui, de toute façon, fonctionne. Mais ne nous laissons pas rendre fous. »
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Update le 8 août: ChatGPT me conseille de mettre mon nom et adresse, et d’ajouter que mes dires ne sont pas un conseil médicale, seulement l’histoire de ma réalité. Je suis reconnaissante du conseil, mais je décide quand-même de rester une voix parmis d’autres. J’informe seulement de ce que j’ai compris. Publier mon adresse privé ne change pas la façon comme mes paroles sont reçus, ça c’est à vous de le décider.
Update no. 2, le 11 août 2025: mais attention, si vous n’avez jamais sauté régulièrement un ou deux repas, il faut savoir que notre corps stocke avec la graisse tous les toxiques qu’il ne peut éliminer à temps (trop de fatigue, trop de malbouffe, jamais des cures de désintoxication, et j’en passe), sinon dés que vous dissolvez votre graisse vous remettez dans le sang les toxines que le corps y a caché provisoirement et vous vous sentez malade. Pour jeûner plus longtemps il faut commencer par sauter un seul repas par semaine – au minimum pendant quelques mois. Plus tard deux repas – pareil … et ne pas re-cacher de suite la toxine dans de nouvelles arrondis. Le mieux vous vous faites guider dans vos premiers pas, sinon ça risque de faillir.